Destination Vivaldis : Natascha a retrouvé son amour pour le secteur de l’intérim
Quand on ressent un véritable match avec son employeur, on ne vit plus son travail comme une simple étape, mais comme une destination. C’est ce que Natascha, fieldcoach chez Vivaldis Interim, vit aujourd’hui. Après 22 ans dans le secteur de l’intérim, elle avait pourtant tourné la page et entamé une reconversion. Mais c’était sans compter sur Vivaldis.
Comment tout a commencé ?
« En octobre 1998, j’ai commencé comme consultante intérim chez un concurrent. J’y ai travaillé plus de 22 ans. J’ai d’abord évolué vers un poste de responsable d’agence. Ensuite, je suis devenue backoffice lead et j’apportais du soutien aux agences, notamment pour l’onboarding. Ce dernier aspect ressemble beaucoup à ce que je fais maintenant en tant que fieldcoach chez Vivaldis. Mais là-bas, ce n’était pas une fonction à part entière, je le faisais en plus de mes autres responsabilités. »
« Ce job m’a façonnée. Je suis très reconnaissante envers mon ancien employeur. Ils m’ont tout appris, et c’est très chouette de pouvoir emporter ce bagage chez un nouvel employeur, où je peux l’appliquer. Mais après 22 ans et demi, j’avais le sentiment que nous n’étions plus sur la même longueur d’onde. Il y avait aussi une hiérarchie très marquée. Ma passion s’était éteinte, et finalement, je suis partie de moi-même. Je ne voulais plus jamais retravailler dans l’intérim et je suis partie dans un domaine totalement différent : la gestion de copropriété. »
« Je ne voulais plus jamais travailler dans le secteur de l’intérim et je suis partie faire tout autre chose »
Comment es-tu arrivée chez Vivaldis ?
« Chez mon premier employeur, j’avais une supérieure hiérarchique directe, Nancy. Nous avons travaillé ensemble plus de vingt ans dans une même agence. Jusqu’au jour où elle est partie pour rejoindre Vivaldis. Un an après que je m’étais lancée comme syndique, Nancy m’a appelée. Elle m’a dit : “Natascha, chez Vivaldis tu es vraiment valorisée et respectée. On t’écoute, tu peux toujours évoluer et… il y a un poste qui t’irait très bien : celui de fieldcoach.” »
« Le rôle de fieldcoach n’existe pas ailleurs, alors qu’il y a justement beaucoup de besoins. Le fait que Vivaldis ait cette fonction m’a convaincue de passer un entretien. Ces entretiens ont été très chaleureux et je me suis tout de suite sentie à l’aise. C’est ce qui m’a convaincue de retourner dans l’intérim. Je me suis dit : ici, je peux avoir un réel impact. »
Que fais-tu comme fieldcoach ?
« En tant que fieldcoach, j’accompagne chaque semestre différentes agences dans la région anversoise. Je travaille par projet, selon les besoins des agences. Cela se fait toujours en concertation avec le clustercoach et cela peut être très large : développement personnel, accompagnement commercial, législation sociale, redynamisation d’une agence, accompagnement d’un collègue en visite client… »
« En tant que fieldcoach, je transmets des choses à mes collègues et je les vois grandir. C’est ce qui me rend tellement heureuse. Chez Vivaldis, nous trouvons qu’il est important de faire beaucoup de choses ensemble et de célébrer les petites victoires. Ensemble, nous pouvons faire la différence et transformer les obstacles en opportunités. »
« En tant que fieldcoach, je transmets des choses à mes collègues et je les vois grandir. C’est ce qui me rend tellement heureuse »
Tu t’occupes aussi de l’onboarding ?
« Oui, nos nouveaux collègues suivent un parcours de plusieurs jours au siège. Qui est Vivaldis ? Comment utiliser notre logiciel ? Comment mener un entretien avec un intérimaire ? Comment proposer un profil à un client ? Comment gérer les objections ? Nous faisons beaucoup de jeux de rôle et c’est très axé sur la pratique. Toujours de manière agréable, pour que l’info reste bien collée. Parce qu’ils reçoivent énormément d’informations. »
« En général, ils suivent ce parcours après quelques semaines de maison. Ainsi, ils peuvent aussi indiquer eux-mêmes ce qui leur pose problème. Nous ne laissons pas les collègues livrés à eux-mêmes. Tout le monde sait à qui s’adresser pour quoi. Et cela se ressent fortement dans les agences. Elles sont bien soutenues par un fieldcoach, un clustercoach et les services du siège. Chez Vivaldis, il y a un cadre clair avec des règles de jeu bien définies. Il y a beaucoup d’autonomie. Bien sûr, nous sommes une entreprise commerciale et nous avons des objectifs. Mais la manière dont on les atteint, c’est toi qui choisis. Et je trouve que c’est vraiment un grand plus chez Vivaldis. »
« Je me vois travailler ici jusqu’à ma pension. Simplement parce que je me sens bien dans ma peau. Je peux être qui je suis. »
En quoi Vivaldis est-elle ta destination finale ?
« Je suis très loyale envers mon employeur. Et je me vois vraiment travailler ici jusqu’à ma retraite. J’ai 47 ans, et pour moi, Vivaldis est vraiment ma destination finale. Simplement parce que je me sens bien dans ma peau. Je peux être moi-même. Vivaldis a aussi une structure plate. Il n’y a pas vraiment de hiérarchie, ce qui est très agréable. Et je ne suis pas seule. Je peux échanger avec les autres fieldcoaches, avec notre operations manager, Elke, et avec mon clustercoach — qui est Nancy. Nous travaillons ensemble depuis presque 27 ans maintenant. Nous formons un excellent tandem. Donc non, je ne me vois pas aller travailler ailleurs. Pour moi, c’est effectivement la destination finale. »
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